Cette série parle des traces de la vie, les rides, le

masculin l’extraordinaire dans l’ordinaire.

Pour la réaliser, je suis allée dans la rue avec mon

flash.

Personnage des temps anciens,

ici, le mouvement en fait son vêtement.

Le tissu impose sa danse. Le corps apparait,

se déforme et disparaît.

un soir avant le confinement au Carreau du temple, les pas de swing se sont imprégnés comme des tableaux.

J’ai vu cette phrase dans la rue en avril. C’est vrai que chacune de nos blessures et le parcours de la vie nous transforment. 

Un homme nu montre sa fleur et on l’effleure.

Il est détaché et évanescent.

J’exhume les robes de bal de ma mère d’il y a 50

ans. Cette série est inspirée de deux générations de

mon histoire familiale. Ma grand mère était couturière.

J’exhume les robes de bal de ma mère d’il y a 50 ans. Cette série est inspirée de deux générations de mon histoire familiale. Ma grand mère était couturière. En travaillant sur un projet sur transmission des histoires de famille, je me suis rendue compte que l’objet que nous gardions de nos ainés était représentatifs de la mémoire que nous souhaitons écrire sur nos racines.

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